Quoi, finirai-je, écrasé par ma mémoire,
Est-ce comme cela que je vais finir ?
Rah ! Ma faux, que je créé mon élément de choix !
Que j’entre et fraye dans le lit de ma rivière,
Que je soupèse de l’aigle l’air que battent ses ailes,
ma terre d’élection, mon feu de joie !
I’m just born from the last rain today,
Completely out of the blue –
Like a mermaid singing with nobody around.
Et je vois ce monde monté d’hypocrites et d’empoisonneurs,
De menteurs qui sirotent leurs vies et coupent dans les virages.
Completely out of the blue
I’m just born from the last rain today —
Like a fucking scarecrow stuffed with straw.
Et je vois Saint-Michel et le Dragon se mettre sur la gueule jusqu’à la fin des temps, et bla bla bla…
Je ne ferai aucune excuse, je ne m’excuserai pas,
Pas parce que cela humilierait mes nerfs,
Mais par le choix réfléchi de ce qu’une excuse souillerait
En nous, l’expérience du désastre.
La vérité peut être un feu de paille ou un festin pour l’esprit.
Qui dit « je », choisit — et, le long d’une telle arcade sourcilière,
Écrase des mondes à chaque fois que ses paupières ceignent
En leurs rondes, les révolutions limpides de son cœur.